Les jours s’étirent, les heures paresseuses s’égrènent,
Dans ce havre de paix, la douceur règne,
Odeurs d’embruns, de maquis qui embaument.
Des parfums de pin et de sel dans l’air flottent,
Falaises abruptes, criques secrètes et proches,
Les côtes se découpent en dentelle de roche,
Éclats de diamant sous un soleil brûlant.
La lumière dansante sur l’eau éclatante,
Ses vagues douces caressant les sables blancs,
Sous le ciel azuré, la mer s’étend,